Rendez vous avec les monstres...et ORwalle (Pv)

Lucas était installé sur son lit, pensif.
* Ca fait longtemps que je veux aller dans la plaine aux monstres...mais si il y a Orwalle...se sera dangereux...*
Il se leva d'un coup. Secoua sa tête pour se resaisir.
* Elle est peut être de deux ans moins jeune, elle a sans doute moins d'expérience que moi, mais je ne dois pas craindre pour sa vie.*Il aviat mis son habit habituelle (je vous rassure il le lave de temps en temps) mais en plus il avait ajouté deux fourreaux pour placer y deux épées plus petite que sa grosse.
* Ce sera un bon moyen pour m'entraîner avec. En plus je pourra montrer ma rapidité*
Il prit sa grosse épée et la chaîne que son père lui avait offert.
* Ca pourrait servir si je dois utiliser mon pouvoir...et d'un autre côté si je veux m'améliorer il faut mieux que je l'utilise...*
Fin prêt, lucas regarda qu'il n'avait rien oublié car on ne va pas à la plaine aux monstres en touriste.
*Pour le bouclier j'aurai toujours mon épaulière et ma grosse épée fraichement réparé du combat cntre Vanda*
Il regarda ensuite sa main brûlé qui à présent était pratiquement guérie. Il enfila son gant par dessus songeant qu'elle ne serait plus un danger pour lui.

Il quitta son bungalow plutôt que l'heure du rendez vous avec Orwalle.
*Faut mieux pas qu'elle y soit seule, elle n'y est jamais allée. Et moins les rares fois où j'y aie été seul, je suis resté au bord de la plaine. *

Lucas se pressa sur le chemin, fin près, armé pour contré toute attaque. SAns peur (mis à part pour sa soeur). Il arriva enfin à la plaine. Il y avait du vent et il neigeait. Lucas songea que ce n'était pas très avantageux pour eux mais que cela dérangerait peut être aussi les monstres. Il resta à la frontière pour attendre Orwalle. C'était l'endroit qu'ils s'étaient fixé la veille. Facile à reconnaître avec ce drôle d'arbre tortueux. Lucas s'y adossa une mains sur sa grosse épée et regardant tout autour de lui pour parer tout attaque.
*Cela faisait longtemps...*songea t il. Moins d'un an certe, mais pour lui cela semblait l'éternité... Sa première fois ici avait été mémorable. Il y était allé seul et il était si jeune ! Heureusement au moment où un monstre allait l'engloutir, quelqu'un le sauva mais il ne sut jamais qui s'était car il s'était enfoui. Dégouté d'avoir été sauvé. Il se rappela aussi la première fois qu'il était venu là et pourquoi il y était allé.



*Mais quand va t il venir?* s'inquiéta déjà Lucas alors que l'heure du rendez vus n'était pas encore arrivé...

Orwalle s'était levée tôt pour se préparer au combat. Sa première fois avec des monstres contre lesquels elle comptait se défouler ! Elle avait troqué sa tenue de cuir rouge habituelle contre un ensemble plus discret gris et blanc. Elle observa alors ses cheveux d'un oeil critique. Beaucoup trop longs et épais. Elle ne pouvait pas les rassembler en tresse, et ce serait un désavantage de les avoir dans les yeux. Elle sortit donc sa dague et sacrifia une bonne partie de la masse brune. Au sol, les cheveux ressemblaient presque à une flaque sombre composées de fibres multiples. Sa coupe à l'arrache ressemblait étrangement aux dégradés les plus en vogue chez les grands coiffeurs parisiens. Elle noua le tout en une natte serrée puis enfila un bonnet blanc par dessus. Elle sortit ses bottes gris perle du placard et les enfila. Elle sortit, ressemblant à un fantôme gris et blanc, rendue presque invisible par la chute des flocons.
Elle arriva vite au point de rendez-vous, un vieil arbre tordu et torturé qui se dressait, unique silhouette sinistre, sur la lande battue par les vents. Au tronc du chêne millénaire était adossé Lucas. Elle ne put résister à l'envie de lui faire une surprise. Elle s'approcha par derrière, soulagée de voir qu'elle gardait sa souplesse, malgré le froid ambiant. Silencieusement, elle se rapprocha de son demi-frère et apposa brusquement ses mains gantées sur ses épaules.

- Bouh !

Elle avait murmuré à son oreille d'une voix qui ne pouvait manquer de le faire sursauter. La réaction du frangin dépassa néanmoins toutes ses espérances...

Lucas qui patientait bien gentillement, avec tout de même un léger énervement car ce n'était pas sa nature d'attendre et qu'il était vraiment impatient de se débarasser de quelques bête commençait à "jouer" avec ses pieds dans la neige.

Et sans le prévenir, une bestiole légèrete et souple sans doute décida de venir s'accrocher à ses épaules pour ensuite lui souffler un bouh. Sa réaction ne se fit pas attendre. Il eut un léger sursaut mais saisit ses deux épées (prendre la grosse lui aurait prit trop de temps) et se retourna d'un coup sec. Malgré qu'il 'était pas encore un expert dans la maniement de deux épées, Lucas savait les utiliser. Il sauta pour se retourner et retomba dans une bonne position puis il mit tout contre sa gorge les deux épées.

- T'es folle. Sans déconner je t'aurais tuée si je ne savais pas que j'attendais quelqu'un.
Lucas avait parlé mi sérieux mi enjoué. Il trouvait cela dangereux mais c'était assez drôle en fait. Il détailla sa soeur. Elle s'était vêtue un peu comme un fantôme et cela le fit penser à Hermi. Et puis ses cheveux...ils étaient plus court?

*Elle doit les avoir coupé pour le combat...*
Lucas avait l'habitude de voir les filles faire ça avant d'aller combattre. Il avait vu cela plusieurs fois dans sa vie et cela l'étonnait toujours. IL y a d'autre moyen, même si les cheveux sont très long ! Par exemple, les attacher normal puis les remonter et soit les fixer avec une grosse pince ou encore avec un élastique à cheveux. Il était quand même satisfait en lui même.

*Au moins elle prend ça au sérieux ! Je me demande se que j'aurais fait si elle était venue en touriste...*
- Bon, dit lucas en retirant ses épées et les rangeant dans leur fourreaux, j'ai l'habitude de combattre en solo mais c'est pas grave je tâcherai de penser que tu es là...

*N'empèche ca va bien me changer le travail d'équipe ! ca fait un siècle que j'en ai plus fait.*

Autour d'eux c'était comme un désert de neige et Lucas regardait à nouveau autour de lui pour percevoir un moindre mouvement qui lui indiquerait la présence d'un monstre.

Orwalle observa un instant son frangin. C'est vrai qu'il aurait pu la tuer. Mais elle se serait défendue jusqu'à ce qu'il réalise qu'elle était sa frangine et pas quelque Méduse hideuse. Lucas n'était pas obligé d'être si protecteur, elle savait se défendre ! Elle ne laissa pas paraître son agacement, pour ne pas le vexer. D'un autre côté, cela faisait plaisir à la russe d'avoir quelqu'un sur qui compter...
Se battre en équipe, c'était unexcellent moyen de créer des liens forts entre frère et soeur. On est toujours plus attaché à quelqu'un quand on a failli se faire tuer en même temps que lui. Orwalle détrompa son frangin :

- Tu n'es pas obligé de te préoccuper de moi.

La voix était sans timbre particulier, ni claire ni ironique. Juste dire qu'elle était capable de se débrouiller seule. Elle tourna son regard vers l'horizon, où apparaissait une forme sombre.

- Tiens, on dirait que notre premier adversaire arrive...

Un mouvement, un peu plus loin, derrière les hautes herbes. Mais le vent souffle, éparpillant la neige et faisant bouger les plantes encore vivaces malgré le froid. Cela peut très bien être une illusion. A trop être sur ses gardes, on peut se mettre sur ses gardes alors qu'il n'y a rien de dangereux. Mais dans la plaine aux montres, il y a toujours quelque chose de dangereux.

En regardant bien sur le sol, dans la neige, on voyait des empreintes étranges, et environ un mètre derrière les deux enfants d'Arès, la neige semblait se soulever sur le passage de quelque chose. Une taupe, peut-être?

Non. Mais ils ne faisaient aucun bruit. Le bruissement de leurs pattes, sur le sol, est à peine perceptible. Ils sont assez nombreux, mais c'est normal : il est rare qu'ils se déplacent autrement qu'en groupe. Ils ont repéré la chaleur des deux corps. Ca les démange, ils veulent planter leur dard dans la chair tendre de ces jeunes demi-dieux... Les voir souffrir... Du venin qui se répandrait dans leur sang, diffusant la douleur sans les tuer... Fallait-il être un monstre sadique pour apprécier de faire cela... Mais là, ce n'était pas que du sadisme. Ils venaient sur leur territoire, sciemment...

Les fils de Campé se mirent en position, lentement, sous la neige, les entourant en un demi cercle, derrière les deux adolescents. Ils étaient une bonne dizaine. Dards prêts à l'action, ils ne bougèrent pas pendant quelques secondes puis, deux d'entre eux, un à chaque extrémité du demi-cercle, s'élancèrent hors de la neige, chacun se jetant sur l'un d'eux dans le but de les piquer. Apparemment, ils visaient l'abdomen, mais pas le côté... la chair tendre entre les côtes, et les hanches, sur le flanc.

[hrp : Orwalle, y'a un pnj monstres, laisse le faire, s'il te plait ^^]

Lucas se retourna vers où montrait sa soeur et apercu mais qe par instant des bêtes. La tempête de neige empéchait de bien voir les adversaires mais cela ne dérangerait pas Lucas, ce n'était pas qu'il était habitué, mais disons qu'il s'y connaissait plutôt bien sans être expert.

*La question est simple : quelle épée?*

Lucas ne savait plus trop si les fils de Campé avait une carapace solide ou non. Et dans le doute il prit sa grosse épée pour plus de sureté. Les dangereuse betes se rapprochait et Lucas put enfin compter le nombre d'assaillant.
-10... souflla t il plus pour lui même que pour sa soeur.

Lucas se placa en position de combat, il savait que les piqure n'était pas mortelles mais le combat s'annonçait tout de même dur !

Le groupe s'arrêta et deux des scorpion aussi gros que des chiens sortirent pour attaquer. Lucas fit une roulade sur le côté ; la neige glacée le réveilla un peu.
- Aller saleté de bête...

Lucas ne faisait pas attention à sa soeur bien qu'il savait qu'en cas de soucis il l'entendrait crier et il sauterait à sno secour (si il ne sefaisait pas avoir avant...). Il avait comme optique de couper le dard de la bête pour écarter tout danger. C'était u ne technique comme une autre mais il la trouvait efficace.
Il fonça donc vers l'animal et fit une feinte comme si il allait attaquer du côté gauche mais fonça du côté droit pour tenter de couper le dard de la première b^te.

+1 pour Lucas. Le fils de Campé se fit avoir et le dard tomba. Et l'épée était très bien choisie. Carapace solide et presque à toute épreuve, ils n'allaient pas non plus leur faciliter la tâche. Néanmoins, ce n'était pas des bestioles très futées. Ils ne pensaient pas à protéger leur seule arme et, sans leurs piqûres, devenaient inoffensifs. Aussi, privé de sa capacité à faire mal, l'adversaire du jeune homme retomba à terre et déguerpit à toute vitesse.

Le second, cependant, ne se laissa pas embrocher facilement. Enfin... La carapace ne céda que grâce à la force d'impact, étant donné qu'il avait sauté, donc qu'il devait bien retomber un jour. La force de gravité ajouter aux couteaux... Cependant, ce à quoi Orwalle n'avait pas du penser, c'était la taille de l'animal. Aussi gros qu'un chien, il retomba lourdement sur son bras qui, si elle n'avait pas été suffisamment rapide après son coup de couteau, aurait des dégâts relatifs à la chute d'un gros scorpion d'un certain poids et plantant le dard dans la chair. Douloureux, mais pas mortel.

Le coup aurait néanmoins achevé la bête, qui ne se relèverait pas. Désormais à huit contre deux, les chiens à dard resserraient leur cercle autour des deux enfants d'Arès. Ils étaient tous le nez hors de la neige, prêts à l'attaque. Considérant Lucas comme le plus dangereux, puisque lui réfléchissait, ils se divisèrent en cinq du côté de ce jeune homme et trois contre Orwalle. Mais leur capacité à réfléchir s'arrêta là, et ce fut à la bourrine qu'ils attaquèrent, dards en avant, plantant leur dard si celui d'en face n'était pas assez rapide ou dégourdi.

Lucas entendit la plainte poussé par Orwalle et se retourna vers celle-ci. Il avait beau avoir des allures de 'jm'en fous de tous", sa soeur était importante à ses yeux.
*Peut être était ce trop dangereux? Maintenant on est encerclé. Qu'est ce qu'on va faire? galère.*
Le temps de s'assurer que sa soeur allait bien, les bêtes pas très intelligentes mais pas débile non plus avait eut le temps d'établir un début de stratégie...
Lucas n''avait pas la prétention de dire que se serait fastoche. Mais il s'inquiétait plutôt pour Orwalle.
Lucas avait acquis une certaine agilité même avec sa grosse épée : l'entrainement et l'habitude. Mais la distraction, la lourdeur de l'épée qui le ralentissait encore malgré ses années de dur labeur, l'empéchèrent d'éviter les cinqs attaques.

Le dard du premier (celui du centre) qui l'atteint le toucha aux cotes, plus exactement à celle du bas. Le dard n'était pas entré trop prondément : Lucas avait ralentit le saut de la bête avec son bras droit. Avec son épée il s'était protégé d'un venant par l'extrême droite. La bête de l'extrème droite visa mal et ne toucha pas Lucas.

Lucas evita presque le dard du scorpion droit plus vers le centre. Le dard l'effleura donc à la jambe. C'était comme une griffure et un léger filet de sang s'écoula. Le dernier scorpion, lui, le toucha en plein sur son bras gauche au niveau du "tricepse"[sais pas orthographe] et là il ne put s'empécher de crier.

Il n'avait que deux blessures (celle à la jambe ne comptait pas), le dard s'était enfoncé dans le bras et avait percé de l'autre côté, Il perdait du sang surtout à 'autre blessure mais aucune des deux n'étaient mortel ...à court therme. C'était plutôt la douleur qui embêtait Lucas. Et par rage il repoussa le scorpion contre lequel il utilisait son épée comme bouclier. Ensuite il se chargea de celui qui l'avait à peine blessé la jambe. Après l'avoir blessé mortellement il fuit de quelques pas pour s'écarter de l'encerclement.

Sur la neige des gouttes de sang perturbaient la beauté et la pureté du décor. Lucas fléchissait un peu de la jambe mais cela ne le dérangerait pas. C'était plutot pour son bras car il avait moins de force désormais.

*Et avec tout ca je ne sais même aps comment s'en sort Orwalle*


[ca va comme rp ou je dois changer?]

Edit Méli : ça va ^^ Je n'interviens plus avec Monstres, Orwalle devrait pouvoir se débarrasser des trois autres

Dans son dos, Orwalle sentit son frère se démener contre les bestioles. Elle vit alors un des machins lui tomber sur le bras droit, dard en avant. Elle n'eut que le temps d'attraper la queue en dessous de l'aiguillon d'où pendait une goutte de venin. Elle prit le Fils de Campé maintenant réduit en bouillie pour le lancer, dard en avant, sur ses copains.
Sans observer le résultat de son attaque, la russe opta pour la méthode de Lucas, qu'elle avait pu entrevoir. Elle attrapa une autre paire de couteaux, les lançant vers les dards des deux scorpions qui restaient. Mais si les bestioles avaient un minimum de cervelle, elles auraient prévu l'attaque et se seraient déplacées. Sans prendre le temps de vérifier ses théories, Orwy virevolta et planta ses dagues dans les scorpions touchés. Mais elle avait oublié la troisième bestiole. Elle s'en souvint au moment où le dard traversa sa botte et atterit dans son mollet. Elle se contorsionna et planta un couteau de toutes ses forces au défaut de la carapace. Elle jeta la chose salement blessée plus loin et récupéra ses couteaux étalés dans la neige plus celui couvert de bouillie de scorpion. Elle se rendit alors compte que les deux derniers fils de Campé s'étaient volatilisés avec ses dagues.

Merde ! Mais je serai jamais capable de me battre de façon intelligente ?

Dans son mollet, la douleur irradiait. La jeune fille ferma un instant les yeuxet souffla pour faire abstraction de cette souffrance. Elle respira un dernier coup, ouvrit les yeux et se tourna vers un Lucas couvert de sang. Honteuse, elle marmonna :

- Désolée. C'est ma faute. Si j'avais réfléchi avant d'attaquer, tu ne serais pas blessé et j'aurais toujours mes dagues.

- C'est pas de ta faute.

Lucas ota son dessus pour constater la plaie : pas très joli tout ca.

*Je me demande de quelle plaie je dois arrêter l'hémoragie... le bras ou la côte? D'ailleurs cette côte est surement cassée...encore heureux que j'ai l'habitude mais ca fait mal.*

- Et c'est rien, après deux trois jours il n'y paraitra plus.

*Enfin j'espère...

C'est insuportable cette douleur...fait chier fait chier....*

Lucas dut se contrôler pour ne pas commencer à tout casser. Il étaitun peu en colère et se serait bien dégommer quelques scorpion. D'aillerus ses yeux étaient rouge-sang.

- Toi ca va? dit il en regardant la blessure à la jambe. Tu veux que je t'aide à marcher?

Ce qui était assez paradoxale, était que lui même peinait déjà à se mouver. Mais cela ne le dérangeait pas, il était trop inquiet pour sa soeur.

- Et puis c'est de ma faute si j'ai été pris par surprise... ajouta t il après un moment devant les yeux baissés d'Orwalle. J'aurais du faire abstraction du milieu extérieur et me concentrer sur mon combat : te faire confiance.

* j'ai pas l'habitude de combattre à deux ou plus généralement en groupe...*

- Tu perds pas trop de sang, mais faudra quand même s'occuper de ta blessure cela pourrait devenir dangereux.

Lui continuait de pisser le sang par le bras et le ventre...

[xD il est parfois con mon perso xD]

Le frangin était couvert de sang. Orwalle accorda à peine une milliseconde d'attention à sa propre blessure et se concentra sur celles de Lucas. Il fallait aller à l'infirmerie, mais elle devait vérifier quelque chose avant. Elle rassura le garçon :

- T'inquiètes, je vais bien.

Elle se laissa tomber à genoux dans la neige. La jeune fille grimaça lorsque son mollet se rappela à son bon souvenir puis l'oublia pour se concentrer sur le sol revêtu de blanc. Mais où était donc passées ces saloperies ? Elles ne s'étaient quand même pas volatilisés avec les dagues sur le dos, non ? Après une minute de recherches infructueuses, la jeune fille dut se rendre à l'évidence. Plus de dagues. Elle perdit son calme.?

- Oh non mais c'est pas vrai ! Merde ! Arès, si c'est toi qui m'a fauché mes dagues, tu va souffrir !

Elle était prête à continuer à invectiver son papa chéri lorsqu'elle aperçut quelque chose qui la laissa bouche bée. Au sol, juste à ses pieds, se trouvaient deux magnifiques dagues qui portaient son nom gravé dessus en russe. En éternelle insatisfaite, elle fit la moue. De nouvelles armes, c'était bien joli mais les cadeaux divins avait d'habitude des pouvoirs magiques. Elle tendit les mains vers les cadeaux. Un sourire éclaira son visage lorsqu'elle les vit voler jusque dans ses paumes. Cool...
Pour vérifier, elle les lanca le plus loin possible puis tendit les mains. Elles revinrent comme deux chiens obéissants. Satisfaite, elle les mit au fourreau puis se tourna vers son frère qui continuait à se vider de son sang.

- On rentre. On va à l'infirmerie.

Elle avait parlé d'un ton péremptoire puis glissa d'autorité le bras dans le dos du frangin pour le soutenir. Clopint-clopant, elle l'entraina vers le manoir.

[hrp : si on squattait le sujet de Vanda à l'infirmerie ? ]

Lucas tentant de sa débattre légèrement mais avec Orwalle c'est pas facile de s'en débarasser. Vers le manoir il y parvint quand même : il ne voulait pas être vu dans cette position légèrement humiliante. Il continua de marcher, si on pouvait appeler ça marcher. Sur le tapis de neige blanche des gouttes, plusieurs... de sang tranchaient avec la pureté de cet épais manteau blanc.

Ils arrivèrent devant la porte et Lucas songea que la dernière fois qu'il était venu dans le manoir et qu'il avait bien sali le sol avec le sang qui s'écoulait de ses blessures, la nettoyeuse avait péter un cable en lui disant que la prochaine fois elle le tuerait. Il voulut sourire mais la douleur l'en empechit.

Il cracha le sang qu'il avait en bouche avant d'entrer dans le batiment : il avait quand même un minimum de respect pour...ce bâtiment antique.

- Un cadeau de papa...dit enfin Lucas qui parlait sans qu'on ressente trop la douleur dans sa façon de parler. Tu sais il y a surement un truc encore plus merveilleux derrière cette dague...
* Comme ma chaîne... que j'ai encore du mal à utiliser en fait...)

Il marchèrent encore quelques instants, devant monter des escaliers : epreuve extrêment difficile mais Lucas refusa l'aide proposé par sa soeur même après avoir faillit tomber dans les escaliers.

[tu fais le rp à l'infirmerie?]